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 Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins

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Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins _
MessageSujet: Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins   Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins Icon_minitimeVen 10 Juin - 16:38


Tell me more about you
SATSUKI TANAKA

IDENTITY


Age : 46 années
Sexe : Masculin sans aucun doute possible.
Lieu de naissance : A Hokkaido, dans une petite ville nommée Furano.
Nationalité : Japonaise & Américaine
Origines : Japonaise
Groupe sanguin : O+
Orientation sexuelle : Je ne m'intéresse pas à ce genre de chose. Du moins je ne fait plus l'effort de m'y intéresser. Les autres m'indiffère et me répugne, nous ne sommes pas vraiment du même monde, sur le même plan.

Rôle au sein de la LOD : Je suis le chef du projet ''Antidote'' au seins de la LOD. J'effectue comme bon me semble tout les tests que je juge nécessaire pour satisfaire mes recherche et mon besoin intarissable de tout connaître. Que cela plaise ou non je suis ''maître'' au seins de mon laboratoire et personne n'ose me contredire.
Grade : Je n'ai qu'un seul ''supérieur hiérarchique'': Blake O'connor.

INFORMATIONS


Infecté ? Non. Et puis quoi encore?
Que pense votre personnage des agissements de la L0D ? Ce que j'en pense? Ni bien, ni mal. La LOD m'a permise d'entamer d'enrichissantes recherches sur le corps humain et le virus et m'apporte régulièrement de précieux cobayes. Je me contre-fiche qu'elle soit responsable ou pas de ce qu'il se déroule en dehors de mon laboratoire, cela ne me concerne absolument pas. Tout ce qui m'importe c'est d'être en sécurité et de pouvoir exploiter mes talents, de prouver que je ne suis pas n'importe qui. De plus, en tant que chef du projet ''antidote'' mon statut de privilégié me permet de réaliser toutes les expériences que je désire sans être inquiété.
Possède-t-il une arme particulière pour se défendre en cas de danger ? Une arme? Grand Dieu non. Je n'ai pas besoin de ce genre d'objet barbare et archaïque, j'ai toute une milice dans mon ombre, un grand nombre de cloportes qui aiment se nommer soldats prêt à mourir pour me protéger. Je suis un homme de science pas un rustre accroc de la gâchette. De plus je reste pratiquement toujours cloitré dans l'enceinte de la LOD alors je ne voit pas quand ni comment je pourrais me mettre en danger. Votre question est donc ridicule et risible.
Pourquoi votre personnage a-t-il rejoint la LOD ? Et pourquoi pas? Qui d'autre à part une société pharmaceutique si puissante aurait pu me faire construire mon propre laboratoire, me donnant carte blanche pour mener à bien mes expériences, me gratifie d'un salaire qui ferait rougir les plus grands noms de ce monde? Non décidément la LOD était parfaite. Je me sert d'elle autant qu'elle se sert de moi. C'est donnant donnant. Je n'ai jamais été aussi ''libre'' que depuis le jour de ma rencontre avec O'Connor. J'ai la possibilité illimitée d'exploiter au maximum mon génie, de repousser mes connaissances et d'appliquer toutes mes hypothèses même les plus farfelues. Je ne suis pas un savant fou, je suis juste à un niveau au dessus de toute cette masse qui s'entre-dévore ou se tapis dans les tréfonds de Crimson City. Ils ne méritent même pas ma pitié et la LOD me permet de m'accomplir complètement. Certes j'ai accepté de me pencher sur la création d'un antidote capable d'éradiquer le virus V-1LOD5 mais pas pour venir en aide à cette colonie de fourmis archaïques et pitoyables. Encore une fois que les choses soit claires je me contre-carre de cette bande de vermines. La seule chose qui puisse m'intéresser c'est d'être celui qui découvrira ce fameux antidote, ainsi je prouverais une fois de plus à la face du monde que je suis un être à part, exceptionnel à l'intelligence supérieure * dit-il une lueur malsaine dans le regard *.

Listen to me



PSYCHOLOGY

Tics & Habitudes :
Je suis un être parfait, en tout point. Je n'ai donc pas de ''tics'' ou de ''tocs''. Certes j'ai quelques mauvaises habitudes mais c'est ce qui fait partie de mon charme n'est-ce pas? Tout d'abord la perfection passe par un aspect physique irréprochable. Je suis donc parfaitement capable de passer des heures à me contempler dans le miroir et à faire en sorte d'être le plus présentable possible. Je déteste les gens laids et il est inconcevable que je me montre en public avec quelques imperfections de que ce soit. Appelez ça comme bon vous semble, du narcissisme poussé à outrance, de l'égocentrisme exagéré mais je suis ainsi et je ne voit pas pourquoi je ferais des efforts pour changer. Plusieurs fois dans la journée, je vérifie que ma cravate soit bien mise, qu'il n'y ai pas de faux-plis sur ma chemise, que mes cheveux soient en ordre. La seule imperfection que je n'arrive pas à faire disparaître ou tout du moins à dissimuler sont mes cernes preuves de la fatigue qui m'habite. Mais encore une fois, je trouve que cela me donne un certain charme.

Ah oui, j'allais oublier. J'ai mon péché mignon. Ce ''rituel'' que je n'arrive pas à me défaire. Non non je ne parle pas de mes tests et autres expérimentation sur l'être humain... Quoi que. Non ici je parle d'une chose que je fait pratiquement sans m'en rendre compte. Il m'arrive souvent de manger, non de dévorer, non pire de gober ces petits gâteaux apéritifs salé. Vous savez, ceux aux fromages qui croustillent. J'en suis totalement dingue. Et lorsque je suis dans mon bureau à prendre une légère pause entre deux dossiers, il me suffit d'ouvrir le tiroir le plus haut de mon imposant meuble en bois vernis qui me sert de bureau pour en ouvrir un nouveau paquet. C'est d'ailleurs une des attributions de mon exubérante assistante. Toujours faire en sorte que je ne manque pas de ces petites choses salées. Pardon? J'entends pouffer? On se moque de moi ou je rêve? Très bien, ici s'arrête votre misérable existence..

Phobies & Rêves :
Mon rêve? Mon rêve est simple: créer un monde meilleur, créer un monde parfait, à mon image. Et pour cela quoi de mieux que de purger une bonne fois pour toute la surface de la Terre de ce qui la ronge: l'être humain. Et lorsque j'ai apprit qu'une nouvelle grippe était en train de décimer la population... j'ai esquissé un sourire. J'ai jubilé. Voilà la purge que j'attendais. Si ce n'était pas de la chance ça! Je rêve d'un monde meilleur et voilà qu'on m'offre un nouveau départ sur un plateau d'argent! Et comble de l'ironie on me demande de créer l'antidote qui enrayera cette épidémie. On me demande d'être le sauveur de ce monde. Et ce rôle m'irait à la perfection. Voilà donc quel était mon rêve: prouver à la face du monde que je n'était pas n'importe qui et que je méritais amplement le respect de tout ceux qui m'entourait. Je désire avoir le contrôle de tout, de tout le monde. J'ai le droit de vie ou de mort sur la basse populace. La LOD est faite pour moi. Je serais le nouveau Dieu de ce monde. Quoi qu'il en déplaise, quoi qu'on en dise. Je vous tient tous dans le creux de ma main...

En ce qui concerne mes peurs... Disons que personne n'est au courant. Un être aussi doué et intelligent que je le suis ne devrait pas avoir de peurs incontrôlables qu'il ne parvient pas comprendre. Et pourtant c'est le cas. La peur de l'échec me tiraille les entrailles et me fait passer des nuits blanches à plancher sur mes cobayes, sur mon ordinateur, sur mes dossiers... J'ai toute confiance en moi, je sais ce que je vaux et qui je suis. Et pourtant la peur de ne pas être à la hauteur me terrifie littéralement. Pourquoi passerais-je des jours et des nuits consécutives sans fermer l'œil à plancher et à tenter d'éluder ce que je ne comprends pas si ce n'est pas pour faire voler en éclat cette frayeur de l'échec. Qu'on ne me contredise pas, que jamais on me dise que j'ai tort.

Plus en détail ?
Narcissique? Juste un chouiwa. Égocentrique? Si peu... Mégalomane? C'est ce qui fait mon charme au fond non? Oui je l'avoue sans conteste. Mais comme les produits l'Oréal je le vaux bien. Je suis parfait. Je n'y peut rien je suis né ainsi. Dame Nature m'a tout donné: l'intelligence, la beauté, une réflexion hors du communs, une perspicacité et une faculté d'analyse à toute épreuve. Je suis parfait vous dis-je. Et je tient à ce que tout le monde le sache. Mon autorité fait loi dans mes bureaux, dans mon laboratoire. Je suis de la race supérieure, de la race des vainqueurs. Les autres ne sont que fioritures, des animaux vils et idiots qui ne mérite absolument pas que je leur porte attention. Les autres quel qu'ils soient ne sont pas digne de mon intérêt. Il y aurait bien ce Blake O'Connor qui pourrait m'intéresser... Et encore. Ce n'est qu'une puce savante parmi d'autre plus insignifiantes. Je n'ai pas de temps à perdre à tenter d'éduquer des chiens galeux alors que j'ai un monde à mon image à construire. Le virus V-1LOD5 est une bénédiction. Une sentence divine qui éradiquera la vermine et fera émerger une race nouvelle d'Homme. Des Hommes plus fort pour mieux me servir en somme puisque de toute manière ce n'est pas cette épreuve qui les rendra plus intelligent. On dit que l'être humain apprend de ses erreurs. Pas tous, seulement moi.

Mais il n'est pas bon pour moi de trop rabaisser ceux qui me servent, ceux qui peuvent m'être utile. C'est pourquoi j'excèle dans l'art si compliqué qu'est la manipulation et l'hypocrisie. Si je n'avais pas été un scientifique, j'aurais pu être un des meilleurs si ce n'est le meilleur acteur du monde. Certes, je n'exprime que très peu de sentiments... Voir aucun. La colère je la passe sous silence et ma vengeance est terrible. Mes joies et mes peines ne concernent personne. Pourtant je parvient toujours à mes fins. Lorsque je désire quelque chose, j'arrive toujours à faire en sorte qu'on me l'apporte gracieusement, et avec le sourire s'il vous plait. Il faut l'avouer, je suis un éternel insatisfait doublé d'un capricieux et d'un envieux. Un peu puéril sur les bords malgré mes quarante six ans mais je n'ai qu'une seule chose à répondre à ça: je ne vous demande pas votre avis. Je suis en droit d'avoir tout ce qui se fait de mieux puisque je suis le meilleur. Et sachez que je suis capable de tout même du pire (surtout du pire) quand je désire quelque chose. Ne vous avisez pas de me dire non où vous le regretterez jusqu'à la fin de votre vie. Je suis tout puissant, on ne me refuse rien et je suis en mesure de faire de votre vie un vrai cauchemar. Comparé à mon courroux, la horde de mort vivant en dehors de l'enceinte de la ville vous paraitrons doux comme des agneaux, de vrais hippies adorables. Soyez prévenu.

Froid et distant, je ne me lasse pas de vous voir vous vautrez dans la fange qu'est devenu le monde actuel. Je rit de vous voir tenter vainement de survivre. Je n'ai nul pitié ni encore moins de compassion pour vos pauvres âmes vouées à la déchéance. Des cobayes, voilà la seule et unique chose à laquelle vous pouvez m'être utile mes cher petits pions. Pourtant, vous aurez toujours l'impression que je vous brosse dans le sens du poil. Bien sur puisque c'est vrai. Mais ce n'est qu'un jeu pour mieux vous voir tomber. L'humour, je ne connait pas. Tout du moins, il est certain que je ne possède pas le même que le vôtre. Ce qui vous fait rire m'indiffère, ce qui me fait rire vous fera tressaillir. Loin d'être bête, je sais pertinemment ce que l'on raconte sur moi. Que je serait pire que ces êtres ayant perdu leurs humanité, un salopard, un connard, un enfoiré, un sale type... Arrêtez vous allez me faire rougir. Impassible face aux menaces, aux vulgarités et bien entendu aux compliments, je me contre fiche royalement de ce que vous pouvez pensez de moi. Mieux vaux être seul que mal accompagné, l'on est jamais mieux servit que par soi-même. Je n'ai besoin de personne, vous avez tous besoin de moi même si jamais vous ne l'avouerez.

PHYSICALLY

Taille & Poids :
Je ne suis pas quelqu'un qui en impose. Je m'explique. Ni grand ni trop petit, je fait un bon mètre soixante quinze ce qui n'est pas énorme pour un homme je le concède. Mais n'oublions pas mes gènes japonais. Malgré tout, je paraît légèrement plus grand de part ma silhouette svelte presque cassante. En effet je ne pèse pas bien lourd car ma balance n'affiche qu'un timide soixante-cinq kilos. Pas énorme je l'avoue mais il m'arrive bien souvent de ne pas me nourrir suffisamment. Pas le temps. La science n'attend pas. Un café me suffit, une barre protéinée à la rigueur. Du coup, je ne prend que très peu de poids. Et cela se voit.
Objets fétiches - Accessoires :
Je ne suis pas quelqu'un de fétichiste. Étant donné que je ne montre aucune émotion, je n'apporte aucune importance affective à de quelconques objets matériel malgré mon caractère avare et capricieux. Je ne m'embrasse pas de futilité. Ce que je veux doit m'être utile. Le reste ne m'intéresse pas.

Malgré tout il est vrai que certains accessoires me reviennent en main bien plus souvent que d'autres. Ainsi je n'autorise personne à utiliser mon ordinateur portable. Dedans se trouve tout les résultats de mes recherches, mes réflexions personnelles et mes hypothétiques futures recherches et expériences. Si j'apprends qu'on y a touché... Et bien ce (ou cette) malheureux(se) finira à coup sur sur l'une de mes tables d'opérations et me servira de cobaye. C'est d'ailleurs déjà arrivé. Malheureusement pour moi le bougre n'a pas du tout supporté mes expériences. Pas que cela m'ai émut plus que cela mais au moins les choses furent recardées et plus personnes ne s'approche de mon bureau ainsi. Je dispose d'un système d'exploitation unique, créé uniquement pour moi. Ainsi tout les petits malins qui s'auto-proclame hackeurs de génie ne peuvent me pirater. D'ailleurs, j'ai engagé une équipe d'informaticiens rien que pour ce pc. Trop de ''choses'' confidentielles y sont entreposées.

Mon bureau parlons en. Un endroit sacré. Personnes hormis une tout petite poignée de personne ont accès à cet endroit. Blake O'Connor lorsqu'il daigne me rendre visite. Mon assistante Susan également. Et... Et c'est tout en réalité. Si l'un de mes chercheurs désire me voir pour me faire part d'une analyse constatée alors je me déplace. Deux miliciens sont posté aux portes de cette pièce sombre et empêche les indésirables de s'approcher de trop près.

Plus en détails :
Les apparences sont souvent trompeuses. L'habit ne fait pas le moine. Ces proverbes ont le mérite d'être véridique. Pourtant l'apparence joue un rôle primordiale chez moi. C'est même quelque chose de capitale que jamais je ne néglige. Car une apparence impeccable renforce le sérieux de mon être. Je suis quelqu'un de froid, de distant, de très haut placé et mon attitude vous le démontre. Je joue de mon physique avec une aisance sans pareille. J'ai été gâté par Dame Nature et j'en fait un de mes plus grands atout après mon intelligence exceptionnelle. Même si j'arbore les contacts humains et que je met tout en œuvre pour les éviter au maximum, cela ne m'empêche pas de connaître le fonctionnement d'un cerveau basique et aussi simplet que le votre. Vous vous croyez futé, malin, rusé? Il n'en ai rien et je joue de mes charmes pour vous le faire comprendre sans même que vous vous en rendiez compte. Vous ne méritez pas mon attention mais je ne suis pas comme vous. J'ai toujours été un privilégié et tout les regard ne doivent se tourner que vers moi. Je suis tout puissant, fascinant, je vous obsède que vous m'adoriez, que vous m'idolâtriez ou que vous me haïssiez comme jamais, je ne vous laisse pas indifférent. Je subjugue les foules, je captive les regards et je me joue de vous avec une malice que je ne montre jamais.

Ma démarche est envoûtante, sure et précise. Je ne tourne pas en rond, je vais droit au but. Mes pas sont rapide et vous ne pouvez que vous immiscer dans mon ombre. Je n'ai besoin de personne à mes côtés. Je marche seul vers mon destin que j'ai moi-même tracé. Ma silhouette fine, mon corps parfois trop mince n'inspire peut-être pas la peur mais je n'ai pas non plus besoin de votre pitié, de votre compassion. Je dégage une aura d'auto-satisfaction telle que je ne peux passer inaperçu. Loin de moi d'ailleurs cette idée. Je veux que l'on me regarde et je sais que j'y parvient à merveille. Lorsque j'entre dans une pièce, j'en devient le centre d'intérêt. Vous tous gravitez autours de ma personne tant j'aspire à devenir l'objet de vos considérations. Le menton relevé fièrement et de manière hautaine, je n'ai pas froid au yeux. Confiant, n'espérez pas pouvoir m'intimider, vous n'y parviendrez pas. Je suis une valeur sure, j'ai en moi une confiance absolue, tout du moins en apparence. La force, le sérieux et le charisme que je dégage vous le ressentez forcément.

Mon regard sombre vous glace, vous transperce. Ma perspicacité me permet de lire en vous comme dans un livre ouvert. Froid et hautain, mes iris couleur nuit d'encre vous happe pour ne plus vous lâchez. Un simple froncement de mes sourcils fins vous glace le sang et vous pétrifie. Je ne vous lâcherez plus du regard jusqu'à ce que vous succombiez. Vous êtes tombé dans le piège et n'en ressortirez pas indemne, je vous le garantit. Mes lèvres fines et nacrées n'esquisse que très rarement de fins sourires méprisables. Je vous déteste, je vous hait. Vous me répugnez, mon attitude peu avenante vous fait frissonnez. Vous avez bien raison. Ma peau d'une teinte blanche presque maladive est due à mes origines nippones. De plus, ne m'exposant que très rarement au soleil, cette dernière ne peut que rester dans ses tonds presque translucide. Renforcée par la noirceur ébène de mes cheveux coupé court et toujours impeccablement coiffé, je suis quelqu'un de très propre sur moi. Jamais négligé, mon statut, mon éducation m'a toujours apprit à parfaire au plus haut point mon physique. C'est un atout indéniable chez moi et c'est ce qui me permet souvent de jouer avec autrui et d'en faire ce que bon me semble. Mon nez fin et légèrement relevé complète le tableau magnifique de mon visage légèrement creusé par la fatigue et le manque de nourriture. Mes joues sont sèches et mes traits sont marqué. Je suis pourtant loin du manque mais encore une fois, cela ne fait que renforcer mon aspect dur et froid. Quelques cicatrices marques ma peau au niveau de mes sourcils et de mon front, signes d'anciennes maltraitances de la part de gueux jaloux de mon être lors de mon adolescence. Mais je n'en ai que faire, je ne les cachent pas ni ne les exhibent. Elles font partie de moi. Ma poignée de main est ferme malgré le fait que je tente par tout les moyens de ne pas vous touchez. Mes doigts sont longs, fins presque osseux. Chirurgien hors paire, ils ne tremblent jamais, sont précis et rigoureux. Gaucher, il m'arrive pourtant d'écrire de la main droite.

Quand à mon style vestimentaire, il s'accorde parfaitement avec mon être: impeccable. On me verra toujours avec un costume haut de gamme. Tel un grand businessman, tel l'homme de haut rang que je suis. J'en change tout les jours. Mes costumes viennent toujours d'Italie. Ils font partie de moi. Toujours de teinte sombres, parfois finement rayé, veston ou pas, cravate rigoureusement nouée autour de mon cou cassant, il m'arrive pourtant de laisser mes chemise entrouverte, question d'aise surtout lorsque je travail et m'adonne à mes expériences. D'ailleurs, lorsque je suis dans mon labo, ma longue blouse d'un blanc parfait vient complètement le tout. A mes pieds, des chaussures en cuirs d'une valeur telle que je pourrais nourrir un quartier de Crimson City entier. Bien entendu, cette idée ne m'a jamais ne serait-ce qu'effleurer l'esprit. Je suis et a toujours été dans une situation confortable, financièrement parlant. Je vous suis supérieur en tout vous dis-je. Vous n'êtes que des manants, des souillons comparé à ma personne. Bon seulement à me lécher les bottes.


BACKGROUND

De tout temps l'humanité à vu naître en son seins des Hommes d'exception, des génies à l'esprit hors du commun et à la vision complètement différente de la majorité. Des hommes et des femmes ayant marqué l'Histoire par leurs idées, leurs réflexions, leurs courage de ne pas se conformer à la normalité. De simple êtres humains de chair et de sang qui pourtant ont fait avancer et progresser leurs temps. Des êtres mentalement supérieurs. Seul avec eux-même, souvent incompris et rejetés de la société car différents. N'avez vous jamais rêvé de devenir quelqu'un dont on se souviendra longtemps après votre mort? Ne vous êtes jamais vous dit que vous pouviez apporter plus au Monde? Pourtant vous restez là, au bas de l'échelle à vivre votre existence monotone et morose. Vous n'êtes personne, vous vous confondez dans la foule, ne faite partit que d'une masse informe grouillante sur Terre tel de vulgaires insectes. On dit que l'ignorance est parfois préférable et salvatrice mais cela ne s'applique que pour des êtres comme vous. Je ne suis pas quelqu'un qui entre dans les termes de la ''normalité''. Je suis plus que ça. Je l'ai toujours été dès ma venue au monde. Je suis différent.

~*~*~*~

Mon premier souvenir remonte à mes trois ans. L'été s'était installé depuis quelques semaines sur la petite ville de Furano. Le soleil écrasait ses rayons sur les bâtisses, l'air était sec et chaud, pas un seul nuage dans le ciel bleu ne faisait espérer une quelconque baisse des températures et même le vent s'était tu. Pourtant une petite brise aurait été la bienvenue. La Nature suivait son cours lentement, le gazouillis des oiseaux et le crissements des grillons pour seule musique, au loin le bourdonnement sourd de la ville. Dans l'immense propriété des Tanaka, je n'étais encore qu'un petit garçon accroupi dans l'herbe grasse et verte. Mon regard déjà distant et froid se focalisait sur une colonie de fourmis qui allaient et venaient sans cesse dans un balais précis qui pouvait pourtant paraître archaïque. Silencieux, je les regardaient s'agiter autours d'un trognon de pomme tombé de l'arbre qui me faisait de l'ombre. Les bras repliés autour de mes genoux, je les analysaient et les observaient froidement. Dans un murmure presque inaudible, je soufflait pour moi-même de ma voix enfantine mais étrangement coupante:

'' Règne: animal... Classe: insecte... Famille: formicidae... Vous ressemblez à Père et Mère''

Et en parlant du loup, au loin une voix aigüe, féminine brisa le calme et la sérénité des lieux. Haute et claire, cette voix familière m'appelait, m'obligeant à me détourner de la contemplation de ces minuscules êtres si faibles et insignifiant. Je poussais un court soupire avant de me relever d'un mouvement. Posant mes iris sombres sur l'individu que je devait appeler ''mère'', cette dernière me faisait de grands signes, intimant que je la rejoigne. C'est ce que je fit, malgré moi. Cette femme, ma génitrice, était plutôt grande pour une nippone. Ses longs cheveux noirs descendaient en cascade le long de sa colonne vertébrale, ses petits yeux vides tout aussi sombre que les miens me regardaient bêtement, un sourire factice accroché à son visage. Je n'ai jamais eu grand estime de cette femme, mise à part le fait qu'elle m'ai mise au monde je ne ressentait déjà pas grand chose pour elle. La maîtresse de maison m'informa que Père désirait me voir et qu'il fallait que j'aille le rejoindre dans son bureau. Je détestait aller dans cette pièce démesurément grande, austère et inquiétante. Mais ce n'était pas comme si j'avais mon mot à dire du haut de mes trois petites années.

Le visage étrangement fermé pour un enfant de mon âge, je frappais quelques coups sur la grosse porte du bureau et y pénétra. Père était comme à son habitude installé dans son fauteuil, un cigare à la main rendant l'air encore plus lourd qu'il ne l'était déjà. C'était un homme au visage ridé, aux cheveux courts et déjà poivre et sel malgré son jeune âge. Imposant, sa carrure était impressionnante et je ne pensais pas ça simplement parce que j'étais haut comme trois pommes. Pratiquement toutes les semaines, j'avais le droit à un sermon de cet homme sur le fait que je n'étais pas n'importe qui, qu'il prévoyait pour moi un brillant avenir au seins de sa société, que je me devait d'être exceptionnel pour pouvoir reprendre sereinement les rennes de ces multiples entreprises. Mes parents travaillaient dans le commerce. Ils avaient basé leur immense fortune sur leurs sens des affaires hors du communs et la famille Tanaka pesait déjà plusieurs milliers de dollars. Et ce n'était qu'un début. Ils leurs en fallait toujours plus et c'était la seule raison de ma venue au monde: un héritier pour pouvoir poursuivre le rêve de grandeur d'un couple aux idées tellement terre à terre. J'acquiesçais silencieusement comme la marionnette que je devais être, regardant froidement et avec dégoût cet homme que je connaissait à peine. S'il croyait sincèrement que j'allais bêtement suivre le destin qu'il m'avait tracé alors il était encore plus stupide qu'il n'y paraissait. A trois ans seulement je savais déjà que je ne serais pas un vulgaire homme d'affaire. J'aspirais à une vie bien plus riche et pas sur le plan matériel. Je savais que je n'étais pas n'importe qui et que le monde se souviendrait de moi comme le nouveau génie de cette époque. Patience le monde, j'arrive.

~*~

Nous ne restâmes pas longtemps à Hokkaido. Très vite nous avons déménagé aux États-Unis, pays puissant et dominateur. Ce fut là-bas que j'entrepris de longues et enrichissantes études. Passionné, je me plongeait sans difficultés dans tout les livres qui se trouvaient à portée de mains. J'ai toujours aimé apprendre, connaître, découvrir, observer. Mon objectif était simple: en savoir le plus possible sur le monde qui m'entourait et que j'aspirais à le contrôler. Délaissant le côté sociale de la chose qui ne m'intéressait guère, voir me répugnait, je n'ai jamais été à l'aise de toute manière avec les autres que je considérais déjà comme des êtres inférieurs, indignes d'avoir mon attention. Certes, ce ne fut pas tout rose. Les génies sont très souvent prit à partie et l'être humain n'aime pas se voir porter en disgrâce. Je ne dérogeais pas à la règle bien entendu mais je savais au fond de moi que je n'était pas au même niveau que la majorité, que je valais bien mieux qu'eux. Alors oui, je pris pas mal de coups. Certains s'ancrèrent définitivement dans ma peau, c'est ainsi que mon visage se marqua de plusieurs cicatrices tout comme le reste de mon corps. Victime de la violence et de la stupidité de l'être lambda, je n'y prêtais pourtant aucune attention... Du moins pour me moment. L'heure venue, ces imbéciles regretteront amèrement de s'en être prit à moi. Oui ils le regretteront, d'une manière ou d'une autre ils s'en mordront les doigts et cette fois-ci c'est moi qui jubilerais.

Bien entendu, je fut un brillant élève. Toujours à la place qui me convenait dans les classements, à savoir premier, je fut même promut plus d'une fois au rang d'excellence. Je parvint à sortir d'une des Université les plus fameuses des État-Unis (Harvard bien entendu) à l'âge de dix sept ans ans. Mon géniteur qui pensait toujours que j'allais docilement reprendre ses entreprises ne se rendit même pas compte que j'avais entreprit des études de médecine plutôt que de commerce, l'imbécile heureux. Dix sept ans donc et j'avais déjà en poche un parcours Universitaire à en faire des envieux. Même si je savais pertinemment ce que je voulais faire, me lancer dans la recherche, satisfaire ma curiosité toujours croissante, emprunter des chemins encore jamais imaginé dans la connaissance du monde, je ne savait pas trop comment j'allais m'y prendre. Bien sur, plusieurs entreprises m'ouvraient allègrement leurs portes, me proposant un poste chez eux des plus qualifié avec un salaire mirobolant, mais aucune d'entre elles ne parvenaient à me plaire. Personne sauf un étrange personnage qui apparut dans ma vie sans même savoir comment ni pourquoi. Un homme d'une stature impressionnante, au regard quasiment aussi froid que le miens. Cet homme là m'intrigua. Pourquoi? Tout simplement parce que je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il voulait de moi, ce qu'il attendait de mon génie. Les autres, tous des pantins que je parvenais à déchiffrer sans mal et que je manipulais à ma guise. Mais cet homme là était... oui différent. J'avais en face de moi une autre personnalité d'exception. Et même si au fond je me fichait bien de qui il pouvait être, je fini par le suivre lorsqu'il me proposa un laboratoire, m'annonçant qu'il financerait toutes mes recherches, me laissant carte blanche pour entreprendre toutes les expériences que je souhaitais et rêvais de faire. Il m'offrait la liberté totale sur un plateau d'argent, petits fours comprit. Mon destin était en marche.

Il avait été convenu que je m'installe dans une petite ville nommée Cleyfield, fief de l'entreprise de ce Blake O'Connor nommée LOD. Pourtant je porta mon dévolu sur une petite ville d'Arizona, Flagstaff. Le climat me convenait mieux et je tenais à ma liberté de choix. C'était en réalité simplement par pure contradiction avec celui qui devenait ainsi mon supérieur, mon patron. Bien entendu, cette décision ne plût absolument pas à mes géniteurs. Je devais m'attendre selon eux à des représailles de leurs avoir ainsi tourné le dos, dire adieu à l'héritage des Tanaka, répudié. Mais je n'en avait cure. Qu'importe que ces matérialistes emprisonnés dans leurs société de consommation ne voit plus en mois qu'un renégat. Je n'avais que faire d'eux, je n'avais pas besoin d'eux. Le laboratoire qu'on m'offrait quasiment pour mon dix neuvième anniversaires était assez impressionnant, bourré des dernières technologies en matière de recherche moléculaire, aux systèmes informatiques surpuissants, aux appareils dont la plupart des citoyens de ce monde n'avait même pas idée. J'étais roi, ma volonté faisait force, on m'obéissait aux doigts et à l'œil. Et que cela déplaise ou non à Monsieur O'Connor, je ne lui envoyait mes résultats d'analyses médicales et d'expérimentations médicamenteuses que par mail. Encore une fois, je ne savais pas ce qui ce passait dans le crâne de cet homme mystérieux et je m'en contre-carrait. L'important pour moi était cette totale liberté qu'il me prodiguait, associé au salaire gargantuesque qu'il me virait chaque mois. J'avais trouvé ma voix. Attention le monde, me voilà.

~*~

Ce fut à mes vingt et un ans que ma vie sociale commença réellement. Et se compliqua également. Comme quoi j'aurais peut-être mieux fait de me casser une jambe ce jour-là...

Hélène Swelen. Irlandaise type, rousse incendiaire aux boucles parfaites, aux yeux d'un vert presque artificiel venait de débarquer à Flagstaff. Comment nous sommes-nous rencontré? Le hasard, une pure coïncidence puisque j'avais un contrôle parfait sur mon destin. Du moins je le pensais. Je n'étais pas encore totalement reclus dans mes laboratoires et il m'arrivait à ce temps là de sortir en ville, de marcher de longues heures perdus dans mes pensées. Et cette idiote me percuta de plein fouet. Comble de tout, elle me renversa son café brûlant dessus. Mon costume fut bien vite complètement tâché de ce liquide brun et brûlant. Je jura et pesta intérieurement mais mon visage n'en affichait pas moins un air plus que contrarié. La demoiselle se répandit en excuses de sa voix fluette et forte. Elle était pleine de vie, ses grands yeux verts pétillaient d'une énergie que je ne connaissait pas. Elle avait absolument tenu à se faire pardonner. En gentleman (de surface) que j'étais j'y vit là la possibilité de tenter de m'ouvrir ne serait-ce qu'un peu aux autres. Hélène et moi nous revîmes plusieurs fois, je fit mine de m'intéresser à elle et bien entendu, elle tomba littéralement sous mes charmes. Qu'aurait-elle pu faire d'autre de toute manière. Nous décidâmes donc de nous voir régulièrement. Ce n'était pas un exercice facile pour moi mais au bout du compte notre relation prit un nouveau tournant une année plus tard. Hélène depuis un certain moment agissait étrangement, ses humeurs changeantes, son appétit qui n'allait qu'en s'accentuant, ses formes qui prenaient de l'ampleur. Je n'était pas dupe. Elle était enceinte. L'enfant naquit dans l'un des meilleurs hôpital qui fut et juste par pur esprit du travail bien fait, je me chargea moi-même de son suivit médical. Sans vraiment m'en soucier je fut donc père pour la première fois de ma vie, et pas la dernière.

Je rendit visite à Hélène quelques temps après son accouchement comme il était coutume de le faire. Je m'en serait bien passé, cela ne m'aurait absolument pas dérangé de ne pas me déplacer car pour moi, cet enfant ne représentait rien du tout comme sa mère d'ailleurs. Mais si je voulais mener à bien mon expérience d'immersion dans le monde et de sociabilisation, il me fallait jouer le jeu. Quand je fut entré dans la petite chambre d'hôpital, je retrouvais une Hélène bien pâle, encore en sueur, visiblement éreintée mais avec la pupille plus brillante que jamais. Son faible sourire dévoilait ses dents parfaitement blanches. Elle tenait l'enfant dans ses bras. C'était un petit garçon tout enroulé dans une couverture de molaire vert prairie. Le nouveau né semblait dormir paisiblement. La jeune femme me regarda droit dans les yeux et de sa voix faible me dit simplement:

'' Félicitation Satsuki. Te voilà... papa! Est-ce que tu veux le prendre dans tes bras? Vas y je t'en prie, fait donc connaissance avec Amerawdwr Albert Swelen. ''

J'arquais un sourcil, perplexe, dubitatif tout en restant silencieux. Amerw-...quoi? Les bras croisés je regardais intensivement Hélène qui tenait toujours son enfant dans les bras.

'' Allez Satsuki prend le, tu va voir c'est ton portrait craché. Tu peux être sur qu'il n'est pas du facteur! '' dit-elle en rigolant légèrement et en me tendant le petit paquet.

Je ne voulais pas faire ça. Je me contre-fichait de cette chose. Je n'attendais rien de lui tout comme il ne pouvait rien attendre de moi. Mais Hélène insista tout sourire aux lèvres. Je ne sais pas pourquoi mais j'abdiquais. Je jouais le jeu et m'approchait lentement. Ma main gauche se leva et effleura la couverture de molaire pour finalement retomber contre ma hanche. J'hésitais une seconde de plus puis prit le petit paquet dans mes bras. C'était étonnamment léger. Je découvrit le visage du nourrisson. De mon... fils. Il fallait bien que je me fasse une raison même si je ne me sentait absolument pas ''père''. Et Hélène n'avait pas mentit. Cette chose me ressemblait beaucoup même si pour l'instant il avait encore le visage tout fripé. Son duvet de cheveux était noir ébène et non roux incendiaire comme je l'aurais cru. Quand il ouvrit difficilement ses deux minuscules paupières j'aperçus deux billes couleur chocolat. Et étrangement... je ne ressentit absolument rien. Pas si étrange que cela finalement. Âgé de vingt deux ans, je regardais avec une indifférence totale cette chose qui commençait à gigoter dans mes bras et à babiller. Comment pourrais-je avoir ne serait-ce que le moindre ressentit face à cet être si faible, dépendant et ignorant. C'était inconcevable et je ne ferait pas l'effort d'essayer. C'était déjà assez contrariant de devoir supporter sa mère, hors de question pour moi de m'occuper d'un enfant en bas âge. Je valais mieux que cela. Finalement je le rendit à sa mère avant de lui adresser la parole sur un ton plat, neutre, froid et distant:

'' Je doit y aller. J'ai encore pas mal de boulot. ''

Et sans même un regard de plus pour l'enfant et sa mère, je tournais des talons avant de me diriger d'un pas assuré vers la sortie. Je n'avais pas le temps de me préoccuper de ce genre de futilité. J'avais un monde à créer, pas un enfant à élever. Cela blessa énormément Hélène qui se rendit compte que je n'avais fait que jouer avec elle depuis tout ce temps, que je n'en avait que faire d'elle et de son marmot. Mais qu'importe, le plus important ce n'était pas ces deux-là mais moi et moi seul.

~*~

Une année à passée. J'ai continué de voir Hélène et son... notre enfant mais bien moins qu'auparavant. Sa compagnie commençait à me lasser sérieusement et je ne voyait plus aucun intérêt à être à ses côtés. Mes recherches avançaient à un rythme régulier et ce n'était pas pour me déplaire. Je commençais à me faire un nom parmi mes confrères. J'étais respecté et Blake avait tenu toutes ses promesses. Jamais je n'étais inquiété de ce que je faisait, tout les crédits dont j'avais besoin m'étais accordé sans attendre, j'avais un contrôle quasi-total sur mon laboratoire, sur ma vie et je décidais de passer au niveau supérieur. Mes recherches sur les nouveaux médicaments de la firme pharmaceutique LOD devait prendre un nouveau tournant: les test sur l'être humain. Accordé. C'est à cette époque que je rencontra une nouvelle femme, une jeune russe nommée Irina. Une fois de plus, je permis à une femme de partager ma vie ne serait-ce qu'un court moment. Mais comme pour Hélène je ne faisait que m'amuser, voir jusqu'où mes talents de manipulateur pouvait aller. Bien entendu elle tomba bêtement dans le panneau. Les femmes sont si stupides. Il vous suffit d'avoir un charisme envoûtant et de lui dire ce qu'elle veux entendre pour qu'elles voient en vous le prince charmant. Mais je n'était absolument pas ce bellâtre qu'elle imaginait. Je continuais de jouer avec elle jusqu'à ce qu'à son tour elle tombe enceinte deux ans plus tard et donne naissance à un garçon également qu'elle nomma Mikhail. Quelle plaie. Moi qui croyait ne pas avoir à subir une nouvelle fois cette contrainte. Cette fois-ci je ne me donna même pas la peine d'aller rendre visite à la jeune femme et à mon deuxième héritier.

Ma vie suivait son cours, immuable et certaine. Ma personnalité s'affirmait, et c'est vrai que c'est probablement à cette époque que je devenait de plus en plus narcissique pour ne pas dire égocentrique ou mégalomane. Mais je savais au fond de moi que j'étais quelqu'un d'exceptionnel. Un génie reconnu de tous. Mes recherches progressaient et aboutissaient toujours selon mes espérances. Ma carrière était lancée, je devenais celui que j'avais espéré être enfant. Tout allait pour le mieux à l'aube de mes trente années. J'étais satisfait du train de vie que j'avais même si une ombre, une tâche allait bientôt tout gâcher. Cette tâche se nommait Amerawdwr. Alors âgé de six ans, ce petit fouineur découvrit mon petit manège entre sa mère Hélène et Irina. Je ne sais pas du tout comment il parvint du haut de ses 6 années à comprendre la situation – quoi qu'il était mon fils, peut-être avait-il hérité d'un peu de ma très grande intelligence. Pas que cela m'ai chagriné d''avoir été mis à la porte. Au contraire, au fond cela m'arrangeait bien. Je ne supportait plus aucune des deux jeunes femmes. Elles et leurs enfants étaient devenus des poids dont j'étais las de m'encombrer. Je partis donc sans remords aucun, laissant ces imbéciles derrière moi pour aller me servir d'une autre femme pendant quelques temps. Une certaine Allie si mes souvenirs sont bons. Plus le temps passait, moins je m'y intéressait. C'est à peine si je me souviens de son visage. Qu'importe, elle mourut peu après dans un accident de voiture la sot.

Bientôt je fut lassé de Flagstaff. Blake me fit alors savoir qu'il avait vraiment besoin de moi à Cleyfield. Pourquoi? Je ne le su jamais vraiment. Et je m'en contre-fichait, comme toujours. L'important c'est qu'il était temps de partir d'ici. Toute la firme LOD était concentrée dans ces bâtiments. Les laboratoires présents en sous-sol étaient... Impressionnant il fallait l'avouer. Ce que j'avais connu en Arizona n'était rien comparé à ces locaux. De plus, je m'était fait véritablement un nom au seins des chercheurs, j'étais plus que reconnu, j'étais admiré. J'avais déjà fait mes preuves je n'avais plus à m'en faire. J'étais enfin quelqu'un. J'étais le meilleur. Et cela me mettait en joie. Je savais qu'ici j'allais pouvoir faire preuve de toute mon intelligence, laissez libre court à mes réflexions et mes expériences les plus profondes. D'ailleurs, j'allais pouvoir montrer de quoi j'étais capable dans très peu de temps car une nouvelle épidémie allait faire rage dans quelques temps. Une nouvelle grippe, encore une. Ça allait être mon heure de gloire, je le sentais et j'en frémissait intérieurement. J'allais montrer à la face du monde, à tout ces abrutis ignorant qu'il ne fallait pas se mettre en travers de mon chemin, que je contrôlais tout et que j'aurais bientôt le droit de vie ou de mort à travers la Terre. Live Or Die. Décidément, cette firme était faite pour moi. On me chargea de trouver le vaccin capable d'éradiquer cette nouvelle grippe virulente qui commençait à inquiéter les État-Unis ainsi que l'Europe. Barricadé dans les sous-sol de la LOD, s'en suivit une série de test, de recherches, d'expériences sans fins. Je me consacrais entièrement corps et âme dans ce que je faisait. Je remarquais bien que Blake se comportait de manière étrange en me fournissant autant de cobaye humain que je le souhaitait. J'ai même voulut voir jusqu'où cet homme était capable d'aller en demandant bien plus de cobaye que nécessaire... Et je les ai tous eu. Un faible sourire naquit sur mes lèvres. Parfait. Tout était parfait.

J'appris même qu'un certain Amerawdwr A. Swelen s'était engagé dans la Milice de la LOD. Je ne pouvais nier que cela me surprit quelque peu mais je n'en fit pas débat plus que cela. Peu m'importait qu'il soit devenu président des État-Unis ou qu'il soit en train de dépérir d'une maladie incurable. Je n'avais rien en commun avec ce jeune homme mise à part mes gènes. Et le visage me dit-on. Mais nos liens, si l'on pouvait les nommer ainsi, s'arrêtaient là. Je ne m'était même pas donné la peine de penser à l'éventualité hypothétique de prendre des nouvelles d'Hélène, d'Irina et de son fils... Comment s'appelait-il déjà? Bah, cela n'avait aucune espèce d'importance. Ces enfants n'étaient pas les miens. Ils n'étaient que des accidents de parcours, des obstacles dans le cheminement me menant droit à mes fins. Et si le jeune Amerawdwr croyait sincèrement capter mon attention en me suivant jusqu'à mon lieu de travail, en se vautrant vainement dans mon ombre, il se mettait le doigt dans l'œil. Personne ne m'intéressait hormis ma personne. Et c'était amplement suffisant pour moi.

~*~

Mais j'allais très vite changer d'avis à son propos. Cet Amerawdwr allait bientôt devenir l'un de mes sujet de préoccupation premier et j'étais loin d'imaginer que la situation allait prendre ce tournant. Car en réalité je ne parvint pas à trouver un vaccin contre cette grippe. Non ce n'était pas tout à fait ça. Dit de la sorte, cela ressemblait à un échec et jamais je n'ai échoué ce que j'ai entrepris. Disons que le virus de cette nouvelle grippe s'était mit à muter bien plus vite et bien plus radicalement que ce qui avait été envisagé par les autres scientifiques. Personnellement je savais que si l'on ne faisait rien, ce virus allait devenir de plus en plus virulent... J'avais prit mon temps pour l'élaboration de ce vaccin car j'avais souhaité voir comment se déroulerait la suite de la mutation. Et cette dernière dépassa ce que j'avais espéré. L'humanité entra dans une nouvelle ère. Ce nouveau virus que l'on baptisera V-1LOD5 transformait littéralement ses victimes en hordes de morts-vivants tel qu'on les voyaient dans tout les films d'horreurs plus ou moins bons. J'ai eu vent que la planète fut bientôt entièrement contaminée et que s'abattait sur Terre un cahot indescriptible. Nous sommes en 2o34 et je n'en avait strictement rien à faire. Je ne me sentait absolument pas concerné par ce qui pouvait bien se passer dehors puisque moi-même j'étais en sécurité confiné dans les laboratoires top secrets de la LOD. La seule chose qui m'intéressait à la limite était d'étudier ces fameux ''infectés'', ces être humains ayant ''perdu'' leurs bon sens, leurs raisons, leurs humanité. Certains affirme que je ne vaux pas mieux qu'eux. Nuances j'ai une intelligence hors du commun et je ne suis pas anthropophage. Blake refit son apparition en personne et me nomma chef du projet ''Antidote''. Il me fallait donc maintenant tout mettre en œuvre pour sauver l'humanité, la façonner à mon image, décider de qui vivra ou qui mourra. Et cela me plaisait énormément. Surtout que lorsque O'Connor revint, il ne le fit pas les mains vides. Il m'avait ramené deux cobayes dont l'un n'était autre que mon premier fils.

Bien entendu cela ne m'empêcha nullement de l'utiliser pour mes expérience. Bien au contraire, au moins pouvait-il se rendre utile une fois dans sa piètre et basique existence. Et je fit bien de l'utiliser car je me rendit vite compte que cet enfant né de mon union avec Hélène avait une particularité étonnante: il était infecté cela ne faisait aucun doute, ses pupilles étaient devenues rouges sang et j'avais détecté le virus V-1LOD5 en lui... Pourtant il ne se transformait pas plus que ça. Le virus cohabitait plus ou moins pacifiquement en lui. Lorsque je m'en rendit compte, un sourire ravi, narquois, méprisable, ignoble se peignit quelques instants sur mes lèvres. Cet enfant était immunisé contre le virus. Il était donc possible d'être infecté sans en perdre la raison. Son sang était alors une denrée rare et précieuse. Je fis en sorte de lui en extraire autant que possible sans pour autant le tuer. Voyons, je n'allait pas faire mourir ma poule aux œufs d'or surtout qu'il détenait peut-être la clef pour sauver l'humanité. Mes recherches ne firent que s'accélérer, s'intensifier. Je passais des nuits entières à plancher, disséquer, expérimenter, comprendre, découvrir... Le deuxième cobaye que m'avait apporté Blake, un dénommé Hunter me servit beaucoup également. Il était de constitution robuste et je pouvait m'en servir à ma guise pour exploiter mes nouvelles découvertes. J'étais aux anges, complètement dans mon élément. Chef de projet avec à mes bottes une armée de scientifiques, une armée de milicien prêt à tout pour me défendre, un laboratoire immense et suréquipé, des cobayes comme s'il en pleuvait. Je n'avait rien besoin d'autre et bientôt, mes efforts portèrent leurs fruits.

Quatre années plus tard après l'apparition des premiers ''perdus'', je parvint à mettre au point ce qui ressemblait à un antidote. J'y était parvenus. Certes, il y avait encore beaucoup de chemin à faire avant d'éradiquer complètement et pour toujours ce virus mais tout du moins j'étais parvenus à faire en sorte que les effets du virus ne se propage pas dans le corps humain. Le traitement était lourd, certaines personnes présentaient de graves allergies à cet antidote comme Amerawdwr qui en tant que porteur sain ne supportait absolument pas mes injections. Mais tout de même, moi, Satsuki Tanaka, était parvenu à sauver probablement des milliers de vie, à relancer un regain d'espoir dans les misérables existences des survivants et surtout, j'étais le seul et unique capable d'un tel exploit. J'étais hors du communs, exceptionnel, cela ne faisait que confirmer mes pensées. Tout allait bien dans le meilleur des mondes n'est-ce pas? Tout du moins c'est ce que je pensait jusqu'à ce que j'appris qu'un groupuscule nommé ''Ellision'' avait réussit à pénétrer dans les locaux de LOD. Qui étaient ces gens? Une bande de rebelle anti-conformiste, râleur, persuadé que la LOD était responsable de cette catastrophe sanitaire mondiale qui avait dévasté le monde. Avait-ils raisons? Je m'en fichait. En quoi cela me concernait alors? Et bien tout simplement parce qu'ils s'étaient mis en tête de délivrer tout ceux utilisé comme cobaye lors de nos expériences. Lors de mes expériences. Et ces terroristes m'avaient fait perdre bien plus que de simples cobayes lambda. Amerawdwr et Hunter s'étaient échappés...

Quand j'appris la nouvelle, j'eus peine à y croire. Mes pupilles se dilatèrent et je sentit mon cœur avoir un raté. Comment?! Cela signifiait que je perdais l'un de mes meilleurs cobayes et celui qui possédait un sang rarissime car malgré mes efforts, trouver des porteurs sains n'étaient pas une minces affaire. Je sentis mon propre sang bouillir dans mes veines et la moutarde me monter au nez. Jamais je n'avais été aussi perturbé, en colère, haineux! Quelle misérable bande d'incapables! Diable à quoi servaient ces foutus miliciens s'ils n'étaient pas capable d'arrêter une bande de dégénérés insatisfait de tout ce qu'on faisait pour eux. Ma colère fut terrible, ravageuse, dévastatrice et proportionnelle au fait que cela ne m'était jamais arrivé auparavant. Tout le laboratoire trembla, les miliciens en faction ce jours là responsable de ce désastre crurent leurs fins arrivées quand je les menaça de les tous les faire passer un à un sur ma table. Pourtant la seule et unique personne qui prit pour l'ensemble de ce désastre fut Susan, mon assistante pourtant si docile et obéissante. Je fut à deux doigts de la tuer sous le coup des émotions nouvelles qui m'habitaient. Ma fureur fut telle qu'elle mit plusieurs semaines avant de se rétablir entièrement. Malgré tout, elle est encore aujourd'hui à mes côtés, remplissant son rôle comme si rien ne s'était passé. Mais moi je ne pouvait oublier cet affront qu'on m'avait fait. Je me jura de retrouver Amerawdwr et Hunter, peut-être également Mikhail s'il était encore en vie car il y avait de forte probabilité qu'il soit dans le même cas que son demi-frère, à savoir un porteur sain.

Bien entendu, je me suis posé la question de savoir si j'étais également immunisé contre le virus qui exterminait la population. Et le résultat fut positif. Malgré tout il était hors de question que j'utilise mon propre sang lors de mes recherches. Après tout je ne suis pas un cobaye moi.

~*~*~*~

De tout temps l'humanité à vu naître en son seins des Hommes d'exception, des génies à l'esprit hors du communs et à la vision complètement différente de la majorité. Des hommes et des femmes ayant marqué l'Histoire par leurs idées, leurs réflexions, leurs courage de ne pas se conformer à la normalité. De simples êtres humains de chair et de sang qui pourtant ont fait avancer et progresser leurs temps. Des êtres mentalement supérieurs. Je faisais partit de ces êtres supérieurs. J'en avait toujours été convaincu et j'en avais eu la certitude au cours de ces quarante six dernières années. J'étais unique. Personne même pas Blake ne pouvait rivaliser avec mon génie. Je n'avais besoin de personne, l'humanité avait besoin de moi. Soyez prêt larves de Crimson City. Satsuki Tanaka est parmi vous.

HORS JEU

Pseudo : Faisons dans l'hyper original et appelez moi ''Dieu'' =D ... Ou Satsuki pour les intimes.
Bien ou bien ? Imopthep
Comment as-tu découvert ce forum ? Via un top forum je crois.
Qu’en penses-tu ? Des suggestions ? Tout d'abord je tiens à dire que le design m'a époustouflé! Tout les petits détails et l'ambiance, nickel et chapeau bas! Par contre, on a déjà du vous le dire mais la taille d'écriture pique les yeux. Pour ma part, j'ai plutôt tendance à ''geeker'' en soiresh et être obligé de plisser les yeux pour parvenir à comprendre et assimiler la tonne d'informations qu'il y a sur le fow'... Brwef sinon z'avez tous l'air d'une bande de sacré loustique, je sens que je vais me plaire ici. Tout du moins je l'espère.
Connexion en moyenne ? Je tient à prévenir de suite que j'ai pas mal de soucis niveau santé. Cette dernière à tendance à flancher plus ou moins gravement sans prévenir. Je ne m'épancherais pas plus sur la question mais il peut m'arriver de m'absenter sans prévenir pendant un certain temps plus ou moins court (ça m'ais arrivé il y a peu) et donc, je m'en excuse de suite. Mais sinon quand je me porte bien comme maintenant, je dirais un bon gros 7/1o.
Tu aimes Blake ? * se gratte le menton d'un air perplexe et dubitatif * Validé par ton fils adoré que tu aimes de tout ton cœur bien évidemment *tousse* donc, validé par Ronron. Et c'est mon ultime bafouille.

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Blake O'Connor
I'm Blake O'Connor

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Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins _
MessageSujet: Re: Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins   Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins Icon_minitimeLun 13 Juin - 13:15

Pardon du retard ! Mais à vrai dire, j'ai eu quelques petits soucis avec internet. Pardon de valider ta fiche aussi tard ._.

Alors ! Eh bien, il me semble t'avoir tout dit par MP, mais je vais quand même le redire, en partie.

J'ai donc eu un énorme coup de cœur pour ta fiche. C'est superbement bien écrit - on adhèrerait presque au mode de pensée de ce gentil monsieur ! - et tu as parfaitement compris le personnage pour le rendre encore plus salaud. Mégalo, narcissique, et j'en passe et des meilleures. Tu. As. La. Classe.

Autrement dit : je suis trop fan.

J'ai vraiment hâte de te voir RP.
Le seul petit reproche que je pourrais te faire sont les fautes qui parsèmes le texte. Ce n'est pas vraiment gênant mais je te demanderais de faire un peu plus attention en RP. Mais à vue de nez, ce ne sont quelques petites erreurs d'inattention.

Ainsi donc :

Yeaaaah !

Au fait, veux-tu un rang particulier ?
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Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins _
MessageSujet: Re: Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins   Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins Icon_minitimeMar 14 Juin - 0:08

Et bien et bien que d'éloges! Merci beaucoup pour tout ce que tu a pu me (re)dire, ça fait toujours plaisir.

Je pense avoir bien cerné le personnage en effet mais j'espère ne pas en avoir fait un trop grand psychopathe au sens le plus couramment utilisé du terme (puisqu'il n'est absolument pas atteint au niveau cérébral j'entends). J'ai hâte de pouvoir faire vivre ce cher Satsu et vous pourrir tous la vie du mieux que je le peux mes chers petits cobayes!

Pour ce qui est de mes fautes en tout genres, je plaide coupable même si ce n'est pas faute de m'être relu je-ne-sais-plus-combien-de-fois. Enfin comme on dit il est toujours plus facile de cerner les erreurs des autres que les siennes. Mais je te garantis que je ferais tout pour limiter au minimum les fautes dans mes futurs rps.

Quand au choix d'un rang en particulier je n'y ai absolument pas songé... Mais ne t'inquiète pas si une idée me vient, je n'hésiterais pas à t'envoyer un petit mp de mon cru, bourré de gentillesse et d'amabilité comme toujours =D
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Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins _
MessageSujet: Re: Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins   Tanaka Satsuki ~ The Nightmare Begins Icon_minitime

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